2025 - Cabinet Eléonore-Marie LE GALEZE - 58 rue de Monceau 75008 PARIS - Entrepreneur Individuel - SIRET : 92913797400028

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Podcast : Les freins à la thérapie


Podcast : Les freins à la thérapie


Podcast : Les freins à la thérapie


Bonjour à tous,


Je m'appelle Eléonore-Marie LE GALEZE, je suis psychologue clinicienne. J'exerce depuis une dizaine d'années, aussi bien dans le milieu hospitalier, judiciaire, sécuritaire, qu'en libéral et j'ai souhaité diffuser cette série de podcasts pour tenter de lever les freins à la thérapie. Alors ça ne sera évidemment pas exhaustif mais disons quelques-uns parce qu'au cours de ma carrière mais aussi dans ma vie personnelle, j'ai constaté et je constate toujours d'ailleurs, que débuter une thérapie, ça peut s'avérer parfois compliqué. Alors les freins sont nombreux et plus ou moins puissants en fonction de chacun. Donc dans cette série de podcasts, je m'y intéresse en essayant d'apporter un éclairage qui puisse vous aider à les dépasser. Alors pourquoi me direz-vous ? Et bien parce qu’une thérapie ça peut sauver la vie. Alors, ça peut paraître un peu présomptueux dit comme ça, pour autant c'est une réalité. Mais sans aller jusque-là, ça l’améliore aussi grandement. Je n’ai pas la prétention d'enregistrer des podcasts efficaces entre guillemets, c'est-à-dire qu'après écoute, vos freins lâchent et hop ! Vous entamez une thérapie. Non, je vais simplement essayer d'apporter quelques clés de compréhension mais surtout des pistes de réflexion, qui je l'espère raisonneront chez certains.

Et comme il est plus agréable de savoir à qui l’on a affaire et bien, c'est l'occasion de me présenter.

 

Au moment où j'enregistre donc moi j'ai 37 ans, je suis originaire d'une belle région chère à cœur : la Bretagne, dans laquelle j'ai débuté ma carrière. La santé mentale, c'est mon métier mais je ne vis pas santé mentale. Dans ma vie personnelle, j'ai d'autres centres d'intérêt.

J'aime énormément l'humour, ce qui m'oblige reconnaître que j'en use (alors sans en abuser, la thérapie est un métier sérieux) avec mes patients quand l'occasion se présente. Je pense que le rire aide à supporter les maux de l'existence et d'ailleurs, c'était le sujet de mon mémoire de Master 2 si je ne me trompe pas. Enfin, ça n’est pas exactement le sujet mais ça tournait autour de ça.

Alors brièvement, je vais vous donner les grandes lignes de mon parcours. J'ai obtenu le titre de psychologue clinicienne en 2014, suite à un cursus universitaire à l'UCO d'Angers, en psychologie clinique et psychopathologie. J'ai enchaîné tout de suite à la clinique psychiatrique Saint-Vincent à Larmor-Plage, c'est dans le Morbihan. Puis au pôle de médecine physique et de réadaptation Saint-Hélier à Rennes donc c'est en Ille-et-Vilaine. Et par la suite, je suis allée à l'hôpital de Saint-James, au service de médecine-soins palliatifs principalement, avec un peu de soins de suite-réadaptation et d’EHPAD et ça c'était dans la Manche en Normandie. Je suis ensuite revenue en Bretagne pour travailler au Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation du Morbihan, plus communément appelé le SPIP qui est situé à Lorient. Et après cela, je suis montée à Paris comme on dit, pour travailler au service de recrutement et de soutien psychologique pour les métiers à risque, au Ministère de l'Intérieur dans le 8e arrondissement. J'ai ensuite ouvert mon cabinet en libéral, alors toujours dans le 8e et j'exerce désormais avec une patientèle principalement parisienne, mais qui peut parfois provenir du reste de la France ou l'étranger aujourd'hui parce que la visio le permet. Parce que je travaille aussi en visio.

 

J'ai une approche thérapeutique centrée sur la parole, dite « intégrative » même si principalement d'orientation analytique. Les processus inconscients sont importants pour moi.

Alors, je n'entretiens pas de clivage idéologique entre les différents courants théoriques, parce que je pense qu'ils sont complémentaires et qu'ils répondent à des besoins et/ou des temporalités différentes pour le patient. Et moi-même en tant que patiente, j'ai expérimenté des approches différentes, parce que je sais ce que viens chercher dans telle ou telle pratique. L'important réside dans le fait que le thérapeute soit au clair, enfin en tout cas selon moi, avec ses limites et puisse réorienter son patient lorsque sa proposition de prise charge ne lui convient pas.  Le respect de chacun est notamment de sa liberté, ça c'est fondamental pour moi, la notion de liberté, est au cœur de ma pratique.

 

Voilà, j'espère avoir été suffisamment claire et concise pour que vous ayez un aperçu de qui je suis. Alors, n'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions, je me ferai un plaisir d'y répondre. Il n'y a pas de questions idiotes. Donc n'hésitez pas et si je suis bien en peine pour y répondre parce que je ne sais pas, je vous dirai tout simplement que je ne sais pas !


Merci à vous.

Bonjour à tous,


Je m'appelle Eléonore-Marie LE GALEZE, je suis psychologue clinicienne. J'exerce depuis une dizaine d'années, aussi bien dans le milieu hospitalier, judiciaire, sécuritaire, qu'en libéral et j'ai souhaité diffuser cette série de podcasts pour tenter de lever les freins à la thérapie. Alors ça ne sera évidemment pas exhaustif mais disons quelques-uns parce qu'au cours de ma carrière mais aussi dans ma vie personnelle, j'ai constaté et je constate toujours d'ailleurs, que débuter une thérapie, ça peut s'avérer parfois compliqué. Alors les freins sont nombreux et plus ou moins puissants en fonction de chacun. Donc dans cette série de podcasts, je m'y intéresse en essayant d'apporter un éclairage qui puisse vous aider à les dépasser. Alors pourquoi me direz-vous ? Et bien parce qu’une thérapie ça peut sauver la vie. Alors, ça peut paraître un peu présomptueux dit comme ça, pour autant c'est une réalité. Mais sans aller jusque-là, ça l’améliore aussi grandement. Je n’ai pas la prétention d'enregistrer des podcasts efficaces entre guillemets, c'est-à-dire qu'après écoute, vos freins lâchent et hop ! Vous entamez une thérapie. Non, je vais simplement essayer d'apporter quelques clés de compréhension mais surtout des pistes de réflexion, qui je l'espère raisonneront chez certains.

Et comme il est plus agréable de savoir à qui l’on a affaire et bien, c'est l'occasion de me présenter.

 

Au moment où j'enregistre donc moi j'ai 37 ans, je suis originaire d'une belle région chère à cœur : la Bretagne, dans laquelle j'ai débuté ma carrière. La santé mentale, c'est mon métier mais je ne vis pas santé mentale. Dans ma vie personnelle, j'ai d'autres centres d'intérêt.

J'aime énormément l'humour, ce qui m'oblige reconnaître que j'en use (alors sans en abuser, la thérapie est un métier sérieux) avec mes patients quand l'occasion se présente. Je pense que le rire aide à supporter les maux de l'existence et d'ailleurs, c'était le sujet de mon mémoire de Master 2 si je ne me trompe pas. Enfin, ça n’est pas exactement le sujet mais ça tournait autour de ça.

Alors brièvement, je vais vous donner les grandes lignes de mon parcours. J'ai obtenu le titre de psychologue clinicienne en 2014, suite à un cursus universitaire à l'UCO d'Angers, en psychologie clinique et psychopathologie. J'ai enchaîné tout de suite à la clinique psychiatrique Saint-Vincent à Larmor-Plage, c'est dans le Morbihan. Puis au pôle de médecine physique et de réadaptation Saint-Hélier à Rennes donc c'est en Ille-et-Vilaine. Et par la suite, je suis allée à l'hôpital de Saint-James, au service de médecine-soins palliatifs principalement, avec un peu de soins de suite-réadaptation et d’EHPAD et ça c'était dans la Manche en Normandie. Je suis ensuite revenue en Bretagne pour travailler au Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation du Morbihan, plus communément appelé le SPIP qui est situé à Lorient. Et après cela, je suis montée à Paris comme on dit, pour travailler au service de recrutement et de soutien psychologique pour les métiers à risque, au Ministère de l'Intérieur dans le 8e arrondissement. J'ai ensuite ouvert mon cabinet en libéral, alors toujours dans le 8e et j'exerce désormais avec une patientèle principalement parisienne, mais qui peut parfois provenir du reste de la France ou l'étranger aujourd'hui parce que la visio le permet. Parce que je travaille aussi en visio.

 

J'ai une approche thérapeutique centrée sur la parole, dite « intégrative » même si principalement d'orientation analytique. Les processus inconscients sont importants pour moi.

Alors, je n'entretiens pas de clivage idéologique entre les différents courants théoriques, parce que je pense qu'ils sont complémentaires et qu'ils répondent à des besoins et/ou des temporalités différentes pour le patient. Et moi-même en tant que patiente, j'ai expérimenté des approches différentes, parce que je sais ce que viens chercher dans telle ou telle pratique. L'important réside dans le fait que le thérapeute soit au clair, enfin en tout cas selon moi, avec ses limites et puisse réorienter son patient lorsque sa proposition de prise charge ne lui convient pas.  Le respect de chacun est notamment de sa liberté, ça c'est fondamental pour moi, la notion de liberté, est au cœur de ma pratique.

 

Voilà, j'espère avoir été suffisamment claire et concise pour que vous ayez un aperçu de qui je suis. Alors, n'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions, je me ferai un plaisir d'y répondre. Il n'y a pas de questions idiotes. Donc n'hésitez pas et si je suis bien en peine pour y répondre parce que je ne sais pas, je vous dirai tout simplement que je ne sais pas !


Merci à vous.

Bonjour à tous,


Je m'appelle Eléonore-Marie LE GALEZE, je suis psychologue clinicienne. J'exerce depuis une dizaine d'années, aussi bien dans le milieu hospitalier, judiciaire, sécuritaire, qu'en libéral et j'ai souhaité diffuser cette série de podcasts pour tenter de lever les freins à la thérapie. Alors ça ne sera évidemment pas exhaustif mais disons quelques-uns parce qu'au cours de ma carrière mais aussi dans ma vie personnelle, j'ai constaté et je constate toujours d'ailleurs, que débuter une thérapie, ça peut s'avérer parfois compliqué. Alors les freins sont nombreux et plus ou moins puissants en fonction de chacun. Donc dans cette série de podcasts, je m'y intéresse en essayant d'apporter un éclairage qui puisse vous aider à les dépasser. Alors pourquoi me direz-vous ? Et bien parce qu’une thérapie ça peut sauver la vie. Alors, ça peut paraître un peu présomptueux dit comme ça, pour autant c'est une réalité. Mais sans aller jusque-là, ça l’améliore aussi grandement. Je n’ai pas la prétention d'enregistrer des podcasts efficaces entre guillemets, c'est-à-dire qu'après écoute, vos freins lâchent et hop ! Vous entamez une thérapie. Non, je vais simplement essayer d'apporter quelques clés de compréhension mais surtout des pistes de réflexion, qui je l'espère raisonneront chez certains.

Et comme il est plus agréable de savoir à qui l’on a affaire et bien, c'est l'occasion de me présenter.

 

Au moment où j'enregistre donc moi j'ai 37 ans, je suis originaire d'une belle région chère à cœur : la Bretagne, dans laquelle j'ai débuté ma carrière. La santé mentale, c'est mon métier mais je ne vis pas santé mentale. Dans ma vie personnelle, j'ai d'autres centres d'intérêt.

J'aime énormément l'humour, ce qui m'oblige reconnaître que j'en use (alors sans en abuser, la thérapie est un métier sérieux) avec mes patients quand l'occasion se présente. Je pense que le rire aide à supporter les maux de l'existence et d'ailleurs, c'était le sujet de mon mémoire de Master 2 si je ne me trompe pas. Enfin, ça n’est pas exactement le sujet mais ça tournait autour de ça.

Alors brièvement, je vais vous donner les grandes lignes de mon parcours. J'ai obtenu le titre de psychologue clinicienne en 2014, suite à un cursus universitaire à l'UCO d'Angers, en psychologie clinique et psychopathologie. J'ai enchaîné tout de suite à la clinique psychiatrique Saint-Vincent à Larmor-Plage, c'est dans le Morbihan. Puis au pôle de médecine physique et de réadaptation Saint-Hélier à Rennes donc c'est en Ille-et-Vilaine. Et par la suite, je suis allée à l'hôpital de Saint-James, au service de médecine-soins palliatifs principalement, avec un peu de soins de suite-réadaptation et d’EHPAD et ça c'était dans la Manche en Normandie. Je suis ensuite revenue en Bretagne pour travailler au Service Pénitentiaire d'Insertion et de Probation du Morbihan, plus communément appelé le SPIP qui est situé à Lorient. Et après cela, je suis montée à Paris comme on dit, pour travailler au service de recrutement et de soutien psychologique pour les métiers à risque, au Ministère de l'Intérieur dans le 8e arrondissement. J'ai ensuite ouvert mon cabinet en libéral, alors toujours dans le 8e et j'exerce désormais avec une patientèle principalement parisienne, mais qui peut parfois provenir du reste de la France ou l'étranger aujourd'hui parce que la visio le permet. Parce que je travaille aussi en visio.

 

J'ai une approche thérapeutique centrée sur la parole, dite « intégrative » même si principalement d'orientation analytique. Les processus inconscients sont importants pour moi.

Alors, je n'entretiens pas de clivage idéologique entre les différents courants théoriques, parce que je pense qu'ils sont complémentaires et qu'ils répondent à des besoins et/ou des temporalités différentes pour le patient. Et moi-même en tant que patiente, j'ai expérimenté des approches différentes, parce que je sais ce que viens chercher dans telle ou telle pratique. L'important réside dans le fait que le thérapeute soit au clair, enfin en tout cas selon moi, avec ses limites et puisse réorienter son patient lorsque sa proposition de prise charge ne lui convient pas.  Le respect de chacun est notamment de sa liberté, ça c'est fondamental pour moi, la notion de liberté, est au cœur de ma pratique.

 

Voilà, j'espère avoir été suffisamment claire et concise pour que vous ayez un aperçu de qui je suis. Alors, n'hésitez pas à me contacter si vous avez des questions, je me ferai un plaisir d'y répondre. Il n'y a pas de questions idiotes. Donc n'hésitez pas et si je suis bien en peine pour y répondre parce que je ne sais pas, je vous dirai tout simplement que je ne sais pas !


Merci à vous.

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Présentation


Psychologue clinicienne - Psychothérapeute


N° RPPS 10009541920

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